Micaela Schäfer révèle : C'est ce que gagne réellement le modèle érotique !

Micaela Schäfer révèle : C'est ce que gagne réellement le modèle érotique !

Micaela Schäfer, la célèbre mannequin érotique, DJ et entrepreneure, a récemment révélé ses revenus et fait sensation. Selon un rapport de nau.ch Leur revenu annuel s'élève à environ un demi-million de francs. Malgré cette somme impressionnante, elle ne dispose que de ressources limitées en raison de déductions élevées.

Schäfer, active dans le monde de la télévision et des célébrités depuis près de 20 ans, a révélé ses revenus au format RTL "Que gagne l'Allemagne ? Le grand classement des salaires". Sa carrière professionnelle a débuté en 2006 en tant que candidate au « Next Top Model allemand ». La véritable percée a eu lieu en 2012 dans le camp de la jungle, qui a fait d'elle un modèle érotique.

Sources de revenus et de dépenses

Une partie importante des revenus de Schäfer provient de ses apparitions en tant que DJ. Elle a entre 30 et 50 apparitions chaque année, le cachet par apparition variant entre 2'000 et 4'000 francs. Cela se traduit par un revenu annuel pouvant atteindre 200 000 francs. En plus des performances live, elle génère des revenus importants grâce aux plateformes numériques.

• Auf der Plattform Onlyfans hat sie monatliche Einnahmen von etwa 50.000 Franken.
• Zusätzliche Einnahmen von etwa 18.000 Franken stammen aus Bestfans und Camshows.

Cependant, il ne leur reste qu’un tiers des revenus de ces plateformes, les 70 pour cent restants allant aux agences. Rapporté en termes de revenus numériques t-online.de que leur revenu mensuel total est d'environ 70 000 euros, qui, après déductions, tombe à environ 15 000 euros net.

Activités entrepreneuriales

Schäfer a également fondé sa propre entreprise, MICA MEDIA GmbH, qui réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 400 000 euros. Votre salaire mensuel brut est de 15 000 euros. Malgré un revenu total impressionnant, l'entrepreneur fait face à des dépenses d'exploitation, des frais de personnel et des prêts élevés, ce qui limite considérablement son revenu disponible.

Dans l'ensemble, l'histoire financière de Schäfer montre que même dans le domaine glamour de l'érotisme et du divertissement, il existe des défis importants et des coûts élevés à surmonter.