Les 20 rues les plus chères de Belgique : où vivent les riches ?
Découvrez les derniers prix de l'immobilier en Belgique, y compris les rues les plus chères et les moins chères en 2025.
Les 20 rues les plus chères de Belgique : où vivent les riches ?
Les rues les plus chères en matière d'immobilier en 2025 ont été récemment annoncées en Belgique. Selon les informations de VRT NWS Bruxelles domine la liste des prix au mètre carré les plus élevés. La Kasteeltjeslaan arrive en tête du classement et atteint un prix moyen de 5 688 €/m². La Dalstraat à Bruxelles-Ville arrive en deuxième position avec 5.521 €/m², suivie par la Klauwaartslaan à Ixelles qui prend la troisième place avec 5.447 €/m².
En Flandre, la rue la plus chère est le Vogelmarkt à Gand, avec un prix au mètre carré de 5 116 €, ce qui la place au 21e rang du classement général. D'autres rues notables en Flandre incluent la Rector de Somerplein à 5 015 €/m² et la Monseigneur Ladeuzeplein à Louvain, qui se négocie à 4 969 €/m².
Les rues les plus chères de Wallonie
En Wallonie, la situation est également remarquable puisque les dix rues les plus chères se trouvent toutes à Namur. En tête de liste se trouve la rue Saint-Jean, dont le prix moyen est de 3 174 €/m². En comparaison, il existe également des routes considérées comme nettement moins chères.
Immobilier pas cher
Les prix immobiliers les moins chers de Flandre se trouvent dans la Egelstraat à Hasselt, où le prix au mètre carré s'élève à seulement 1 787 €. Le prix le plus bas de Wallonie est enregistré rue Maréchal Foch à Charleroi, à seulement 1.197 €/m². A Bruxelles, la rue Groeninghe à Molenbeek-Saint-Jean est la rue la moins chère avec un prix au mètre carré de 2.206 €.
Analyse du prix de l'immobilier
Les prix de l'immobilier en Belgique sont déterminés sur la base des actes de vente enregistrés par le Service Public Fédéral Finances, tels que Tableau de statistiques expliqué. Les ventes privées et publiques sont prises en compte. Les ventes privées se déroulent par accord entre l'acheteur et le vendeur, tandis que les ventes publiques se déroulent généralement sous la supervision d'un notaire selon la procédure d'enchère la plus élevée.
À partir de 2016, la collecte des données a été numérisée, améliorant ainsi la qualité et la clarté des statistiques. La méthodologie de suivi des prix a également changé pour permettre une analyse plus complète. Les prix médians et les prix centiles sont désormais publiés, offrant ainsi un aperçu plus stable et plus détaillé des prix du marché.
Ces données actuelles illustrent non seulement les pics de prix, mais fournissent également des informations sur l'évolution des prix immobiliers dans l'ensemble de la Belgique. Les facteurs communs qui influencent ces prix sont l'emplacement des propriétés et la situation économique de la région concernée.