Valeur locative imputée : Pourquoi locataires et propriétaires gagnent la même chose !
Découvrez tout sur les aspects fiscaux des revenus locatifs et leurs différences avec les plus-values au 31 août 2025.
Valeur locative imputée : Pourquoi locataires et propriétaires gagnent la même chose !
Dans le débat actuel sur la valeur locative imputée, l'accent est mis sur les idées des locataires et des propriétaires. Un exemple exemplaire est la rencontre entre le locataire Müller et le propriétaire Egli. Tous deux disposent d'un patrimoine d'un million de francs chacun, mais des différences significatives apparaissent en raison des différentes formes d'investissement. Alors que Müller paie un loyer de 30 000 francs par mois, Egli a entièrement financé son bien, ce qui signifie qu'il n'a pas de frais d'investissement. Les actifs d'Egli sont entièrement investis dans la propriété.
Müller, quant à elle, a investi sa fortune dans des titres générant un revenu annuel de 30 000 francs, par exemple sous forme de dividendes. Ces revenus sont imposables, ce qui est important dans le contexte du débat actuel sur la valeur locative imputée. La valeur locative imputée est le montant fictif que les propriétaires doivent utiliser pour calculer leur charge fiscale. En conséquence, les charges fiscales diffèrent considérablement entre locataires et propriétaires.
Différences de fiscalité
Les conditions fiscales varient pour les locataires et les propriétaires. Les revenus de la propriété immobilière, comme ceux générés par Egli, sont considérés comme des revenus de location et de leasing et sont soumis à une réglementation fiscale différente de celle des revenus du capital de Müller. Ces revenus ne sont pas faciles à gérer comme les revenus du capital sur titres. Alors que Müller doit payer un impôt sur les revenus des valeurs mobilières, les revenus locatifs ne sont soumis à l'impôt sur le revenu que s'ils dépassent un certain montant.
Aimer la page dasfinanzen.de explique, les revenus locatifs sont soumis à cotisations, mais ne doivent pas être imposés dans certaines circonstances, notamment s'ils sont inférieurs à 256 euros par an. Toutefois, si les montants dépassent ce montant, les revenus locatifs doivent être crédités fiscalement aux propriétaires. En outre, les propriétaires doivent déclarer leurs revenus locatifs au bureau des impôts, ce qui oblige également les travailleurs et les employés à discuter du montant de la valeur locative imputée à inclure dans la déclaration fiscale.
Aspects et conséquences fiscaux
La réglementation fiscale est d'une grande importance pour les personnes concernées. Les plus-values sont soumises au prélèvement à la source, qui s'élève actuellement à 25 %, auquel s'ajoutent les éventuelles surtaxes de solidarité et les taxes ecclésiastiques. Il n'existe pas d'abattement particulier pour les revenus locatifs, mais un abattement de base de 10 908 euros est accordé. Alors que Müller doit payer des impôts sur les revenus des titres, la situation est différente pour les propriétaires.
Un problème particulièrement grave concerne les conséquences juridiques de la non-divulgation des revenus locatifs. Il existe un risque d'amendes et de peines de prison, en fonction du montant des impôts éludés. Cela montre à quel point il est important de traiter correctement les revenus provenant de la location et du leasing. Le bureau des impôts a accès aux informations sur les achats immobiliers et peut accéder aux déclarations de revenus des locataires, augmentant ainsi la transparence dans ce domaine.
En résumé, la situation du locataire Müller et du propriétaire Egli met non seulement en évidence les différences fiscales, mais aussi les questions fondamentales qui se posent en matière de valeur locative imputée et de réglementation fiscale. Le prochain vote nécessite une discussion approfondie sur ces aspects économiques et juridiques.