Droits de succession et logement : Exonération fiscale pour les familles requise
Découvrez pourquoi l'État n'est pas intéressé à avoir moins de locataires et quelles conséquences cela a pour les familles en termes de droit fiscal. Découvrez-en davantage sur le droit des successions en matière de biens immobiliers occupés par leur propriétaire. #Droit fiscal #Locataires #Droit des droits de succession

Droits de succession et logement : Exonération fiscale pour les familles requise
La pauvreté des personnes âgées menace de nombreux citoyens, notamment en raison des retraites relativement faibles en Allemagne, qui ne suffisent souvent pas à couvrir le loyer et les frais de subsistance. Même s'il devrait être dans l'intérêt de l'État de réduire la proportion de locataires, cela n'est pas reflété dans la législation fiscale. Les familles qui achètent un logement pour leur propre usage sont soumises aux mêmes droits de mutation immobilière que les autres acheteurs, tandis que des pays comme la Scandinavie et les Pays-Bas offrent des allégements fiscaux aux familles.
Contrairement aux propriétaires, les familles ne peuvent pas prétendre à l'amortissement et n'ont pas accès à l'ancienne allocation d'accession à la propriété. La législation relative aux droits de succession n'offre pas de protection complète contre l'impôt lorsque les familles reprennent les biens qu'elles utilisent elles-mêmes. Pour bénéficier d'une exonération fiscale, les enfants doivent emménager dans le domicile de leurs parents dans les 6 mois suivant la succession. L'adresse exacte d'emménagement est cruciale.
Les transferts de surface habitable au cours de votre vie n’offrent également aucun avantage fiscal. Les enfants ne peuvent pas hériter d'un appartement en franchise d'impôt si les parents déménagent dans un logement adapté à leur âge ou s'ils résident dans un autre pays de l'UE. Même si les parents sont coincés dans un litige immobilier avec le promoteur immobilier avant leur décès, la défiscalisation des enfants devient compliquée.
Les réglementations actuelles en matière de droits de succession concernant l'exonération fiscale des logements occupés par leur propriétaire traitent des cas similaires différemment, ce qui suggère qu'une mise à jour et une simplification sont nécessaires. Au lieu d’indiquer aux citoyens où ils doivent résider pour bénéficier d’avantages fiscaux, il serait plus approprié que chaque contribuable puisse recevoir de ses parents, de son vivant ou à son décès, un espace de vie exonéré d’impôt de son choix.