Dépenses sociales ou investissements réels ? Hache de lame au point !
Le gouvernement décrit les dépenses sociales comme un investissement. Le ministre des Finances Klingbeil au centre de l'attention. Les dettes augmentent malgré les critiques.
Dépenses sociales ou investissements réels ? Hache de lame au point !
Dans le débat politique actuel, le financement des dépenses sociales telles que les retraites et l'argent des citoyens fait l'objet de discussions intensives. Le gouvernement fédéral considère ces dépenses comme des investissements nécessaires dans la sécurité sociale, tandis que les critiques expriment des doutes quant à cette représentation. Le sujet est particulièrement explosif car les dépenses actuelles et la dette qui en découle, selon les rapports du Se concentrer dépasser les sommets de la période Corona.
Un acteur central de ce débat est le président du SPD, Lars Klingbeil. Il est perçu comme un facteur de pouvoir important au sein du gouvernement et n'évite pas les demandes de réformes de la CDU dans le domaine de l'argent des citoyens. Cette forme de soutien financier a été introduite par la coalition des feux tricolores en 2023 en tant que successeur du Hartz IV pour soutenir les personnes aux revenus insuffisants.
Des dépenses en hausse et des dettes en hausse
Les dépenses consacrées à l'argent des citoyens, qui prend notamment la forme de promesses de retraite, ont augmenté ces dernières années. Les critiques, comme le journaliste Jan Fleischhauer, affirment que ces dépenses ne peuvent pas être considérées comme de véritables investissements. Il présente les ministres, et Klingbeil en particulier, comme des « chanceliers internes » qui stimulent la croissance de l’État-providence tout en ignorant les véritables défis auxquels l’économie est confrontée.
Klingbeil lui-même a clairement indiqué que la sécurité sociale et la puissance économique sont inextricablement liées. Dans ce contexte, il souligne que le montant de l'argent des citoyens est déterminé par une décision de la Cour constitutionnelle et souligne les conséquences néfastes des réformes réclamées par la CDU et la CSU. La CDU envisage non seulement de renommer l'allocation citoyenne en « Nouvelle sécurité de base », mais aussi de réformer les plafonds de revenus supplémentaires. L'objectif est d'accroître les incitations financières à l'embauche et de réintroduire des tests de patrimoine.
Conflits politiques
Le conflit entre les camps politiques est intensifié par l'accusation selon laquelle la rhétorique de la CDU oppose la stabilité économique à la sécurité sociale. Klingbeil rejette fermement de telles accusations et affirme qu’une sécurité sociale forte ne devrait pas être en contradiction avec la puissance économique. Cela se reflète également dans les réformes prévues par la CDU, qui sont interprétées comme l'expression d'une opposition politique croissante à la politique sociale actuelle du gouvernement.
Même si le parti au pouvoir continue de justifier des dépenses qualifiées d’investissements, il reste à voir comment la situation financière et les conflits politiques évolueront à l’avenir. Le débat sur l’argent des citoyens sera au cœur des prochaines campagnes électorales.