Il faut davantage de poids juridique pour la Bafin : le centre de conseil aux consommateurs critique les lacunes dans les pouvoirs de protection des consommateurs.

Transparenz: Redaktionell erstellt und geprüft.
Veröffentlicht am

Un nouveau rapport commandé par l'Association fédérale des organisations de consommateurs (VZBV) montre que les compétences de l'Autorité fédérale de surveillance financière (Bafin) devraient être définies plus clairement afin de mieux protéger les consommateurs. Le rapport du professeur Peter Rott exige, entre autres, que la Bafin puisse obliger les prestataires à rembourser les frais illégaux si les centres de conseil aux consommateurs obtiennent gain de cause. Un exemple cité dans le rapport est une ordonnance de cessation et d’abstention de la Bafin contre l’imposition de taux d’intérêt négatifs. Une entreprise a déposé une réclamation et s'est référée à une décision du Tribunal fédéral de justice (BGH). L'expert du VZBV estime cependant que les entreprises peuvent ainsi ignorer les décisions de la Cour suprême et...

Ein neues Gutachten im Auftrag des Verbraucherzentrale Bundesverbands (VZBV) zeigt, dass die Befugnisse der Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht (Bafin) klarer definiert werden sollten, um Verbraucher besser schützen zu können. Das Gutachten, erstellt von Professor Peter Rott, fordert unter anderem, dass die Bafin Anbieter zur Rückzahlung von unrechtmäßigen Gebühren verpflichten können sollte, wenn Verbraucherzentralen ein Urteil erstritten haben. Ein Beispiel, das im Gutachten angeführt wird, ist eine Unterlassungsverfügung der Bafin gegen die Erhebung von Negativzinsen. Ein Unternehmen hatte dagegen Einspruch eingelegt und auf eine Entscheidung des Bundesgerichtshofs (BGH) verwiesen. Der VZBV-Gutachter argumentiert jedoch, dass Unternehmen auf diese Weise höchstrichterliche Entscheidungen und die …
Un nouveau rapport commandé par l'Association fédérale des organisations de consommateurs (VZBV) montre que les compétences de l'Autorité fédérale de surveillance financière (Bafin) devraient être définies plus clairement afin de mieux protéger les consommateurs. Le rapport du professeur Peter Rott exige, entre autres, que la Bafin puisse obliger les prestataires à rembourser les frais illégaux si les centres de conseil aux consommateurs obtiennent gain de cause. Un exemple cité dans le rapport est une ordonnance de cessation et d’abstention de la Bafin contre l’imposition de taux d’intérêt négatifs. Une entreprise a déposé une réclamation et s'est référée à une décision du Tribunal fédéral de justice (BGH). L'expert du VZBV estime cependant que les entreprises peuvent ainsi ignorer les décisions de la Cour suprême et...

Il faut davantage de poids juridique pour la Bafin : le centre de conseil aux consommateurs critique les lacunes dans les pouvoirs de protection des consommateurs.

Un nouveau rapport commandé par l'Association fédérale des organisations de consommateurs (VZBV) montre que les compétences de l'Autorité fédérale de surveillance financière (Bafin) devraient être définies plus clairement afin de mieux protéger les consommateurs. Le rapport du professeur Peter Rott exige, entre autres, que la Bafin puisse obliger les prestataires à rembourser les frais illégaux si les centres de conseil aux consommateurs obtiennent gain de cause. Un exemple cité dans le rapport est une ordonnance de cessation et d’abstention de la Bafin contre l’imposition de taux d’intérêt négatifs. Une entreprise a déposé une réclamation et s'est référée à une décision du Tribunal fédéral de justice (BGH). L'expert du VZBV estime toutefois que les entreprises pourraient ainsi éviter les décisions de la Cour suprême et l'application des lois par la Bafin.

Un autre exemple concerne un arrêté général de la Bafin sur les contrats de bonus. Plus de 1 100 établissements de crédit s'y sont opposés, ce qui signifie que l'affaire doit encore être clarifiée devant un tribunal administratif. Toutefois, les réclamations du consommateur pourraient être prescrites. Le rapport suggère que les ordonnances de la Bafin devraient avoir un effet bloquant le délai de prescription. La Bafin elle-même affirme que la décision du tribunal administratif n'est pas encore juridiquement contraignante et qu'aucune modification de la loi n'est donc nécessaire.

Ni la Bafin ni le ministère fédéral des Finances ne prévoient actuellement de modifications de la loi concernant des possibilités supplémentaires de poursuites et d'application des lois ou de la loi Bafin (FinDAG). Les deux parties conviennent toutefois que la coopération en matière de protection collective des consommateurs doit être améliorée.

Le rapport du VZBV demande également que l'obligation de confidentialité de la Bafin envers l'Association fédérale des organisations de consommateurs soit levée. Toutefois, la Bafin affirme que cela est réglementé par le droit de l’UE.

L’impact possible de ces demandes pourrait signifier que la Bafin aurait plus de poids juridique et que les fournisseurs pourraient être tenus plus responsables. Une définition plus claire des pouvoirs de la Bafin pourrait mieux protéger les consommateurs contre les frais illégaux et autres violations. Les délais de prescription pour les réclamations des consommateurs pourraient être évités et les droits des consommateurs pourraient être renforcés. Une coopération plus intensive entre la Bafin et l’Association fédérale des organisations de consommateurs pourrait conduire à une protection plus efficace des consommateurs.

Cependant, selon un rapport de amp2.handelsblatt.com, aucune modification de la loi n'est actuellement en préparation et il reste à voir si les exigences du rapport seront mises en œuvre. Il reste à voir si d'autres développements se produiront sur le marché ou dans le secteur de la consommation, qui pourraient conduire à des modifications juridiques ou à une extension des pouvoirs de la Bafin.

Lisez l'article source sur amp2.handelsblatt.com

Vers l'article