Le coût de la nourriture en Autriche est en constante augmentation – les experts financiers conseillent une budgétisation économique.

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Les ménages autrichiens dépensent en moyenne 350 euros par mois pour l'alimentation, ce qui correspond à environ douze pour cent de leurs dépenses totales. En comparaison, cette proportion était de 50 pour cent dans les années 1950. Les prix des denrées alimentaires ont augmenté d'environ 25 pour cent par rapport à l'année précédente, la viande étant devenue plus chère de plus de 6 pour cent, le pain et les pâtisseries de près de 12 pour cent et les légumes de près de 11 pour cent. Le beurre, en revanche, est devenu 17 pour cent moins cher. Cette information provient du rapport du ministre de l'Agriculture Norbert Totschnig (ÖVP) sur la sécurité alimentaire nationale. Selon un rapport de www.derstandard.at, étant donné la hausse des prix des denrées alimentaires en Autriche...

Österreichische Haushalte geben durchschnittlich 350 Euro pro Monat für Lebensmittel aus, was rund zwölf Prozent ihrer Gesamtausgaben entspricht. Im Vergleich dazu lag dieser Anteil in den 1950er-Jahren noch bei 50 Prozent. Die Preise für Lebensmittel sind im Vergleich zum Vorjahr um etwa 25 Prozent gestiegen, wobei Fleisch um mehr als sechs Prozent, Brot und Gebäck um knapp zwölf Prozent und Gemüse um fast elf Prozent teurer wurden. Butter hingegen wurde um 17 Prozent günstiger. Diese Informationen stammen aus dem Bericht des Landwirtschaftsministers Norbert Totschnig (ÖVP) zur nationalen Lebensmittelversorgungssicherheit. Gemäß einem Bericht von www.derstandard.at, In Anbetracht der steigenden Lebensmittelpreise in Österreich …
Les ménages autrichiens dépensent en moyenne 350 euros par mois pour l'alimentation, ce qui correspond à environ douze pour cent de leurs dépenses totales. En comparaison, cette proportion était de 50 pour cent dans les années 1950. Les prix des denrées alimentaires ont augmenté d'environ 25 pour cent par rapport à l'année précédente, la viande étant devenue plus chère de plus de 6 pour cent, le pain et les pâtisseries de près de 12 pour cent et les légumes de près de 11 pour cent. Le beurre, en revanche, est devenu 17 pour cent moins cher. Cette information provient du rapport du ministre de l'Agriculture Norbert Totschnig (ÖVP) sur la sécurité alimentaire nationale. Selon un rapport de www.derstandard.at, étant donné la hausse des prix des denrées alimentaires en Autriche...

Le coût de la nourriture en Autriche est en constante augmentation – les experts financiers conseillent une budgétisation économique.

Österreichische Haushalte geben durchschnittlich 350 Euro pro Monat für Lebensmittel aus, was rund zwölf Prozent ihrer Gesamtausgaben entspricht. Im Vergleich dazu lag dieser Anteil in den 1950er-Jahren noch bei 50 Prozent. Die Preise für Lebensmittel sind im Vergleich zum Vorjahr um etwa 25 Prozent gestiegen, wobei Fleisch um mehr als sechs Prozent, Brot und Gebäck um knapp zwölf Prozent und Gemüse um fast elf Prozent teurer wurden. Butter hingegen wurde um 17 Prozent günstiger. Diese Informationen stammen aus dem Bericht des Landwirtschaftsministers Norbert Totschnig (ÖVP) zur nationalen Lebensmittelversorgungssicherheit.

Selon un rapport de www.derstandard.at,
Compte tenu de la hausse des prix des denrées alimentaires en Autriche, l'inflation devrait augmenter. L’alimentation étant un élément clé de l’indice des prix à la consommation, une hausse de l’inflation pourrait entraîner une réduction du pouvoir d’achat des consommateurs. Cela pourrait à son tour avoir un impact négatif sur la consommation et la croissance économique.

En outre, la hausse des prix des denrées alimentaires pourrait entraîner une demande accrue d’alternatives moins chères, par ex. B. à une consommation accrue de protéines non animales ou de produits locaux et de saison. Cela pourrait avoir un impact sur l’industrie agroalimentaire à mesure que les modèles de production et de vente changent.

Dans l’ensemble, le gouvernement, les secteurs financier et agricole devraient suivre de près l’évolution du secteur alimentaire et, si nécessaire, prendre des mesures pour stabiliser les prix et sécuriser les approvisionnements alimentaires.

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