Augmentation du chômage partiel : les entreprises du quartier de Fürstenfeldbruck touchées
Nouveaux développements dans la situation économique dans le quartier de Fürstenfeldbruck : découvrez pourquoi de plus en plus d'entreprises postulent au chômage partiel. Les experts mettent en garde contre des effets durables.

Augmentation du chômage partiel : les entreprises du quartier de Fürstenfeldbruck touchées
Le ralentissement de l'économie a eu des répercussions dans le quartier de Fürstenfeldbruck, avec une augmentation des inscriptions au chômage partiel dans les entreprises. L'agence pour l'emploi de Weilheim rapporte que 16 entreprises du district se sont actuellement inscrites au chômage partiel pour raisons économiques. Les entreprises qui fabriquent des appareils, des machines, des matériaux d'emballage, des dispositifs médicaux, des menuiseries et des ateliers de métallurgie sont particulièrement touchées.
Par rapport à l'année 2019, avant le coronavirus, les chiffres ont considérablement augmenté, avec 125 demandes d'allocations de chômage partiel entre janvier et mi-mars 2024, contre 18 demandes au cours de la même période en 2019. L'agence pour l'emploi supervise également les districts de Weilheim, Starnberg, Landsberg et Garmisch, Fürstenfeldbruck représentant environ un cinquième du total.
Le maître artisan du district Franz Höfelsauer met en garde contre une situation persistante, notamment dans les domaines artisanaux liés au secteur de la construction. Il souligne que le domaine de la construction intérieure a jusqu'à présent été moins touché, mais que des difficultés sont attendues à l'avenir. Les entreprises du secteur de la construction ont également eu recours au chômage partiel saisonnier, avec des chiffres en légère baisse au premier trimestre 2024 par rapport à 2019.
De nombreuses entreprises n'ont pris la décision de recourir au chômage partiel comme aide que pendant la période de Corona, même si la connaissance de la procédure facilite son utilisation. Néanmoins, environ 20 pour cent des demandes d’allocations économiques de chômage partiel doivent actuellement être rejetées parce qu’elles ne remplissent pas les conditions plus strictes. Les exigences incluent, entre autres, l'impact financier de la perte de travail dans l'entreprise, le fait qu'au moins un tiers des salariés soient concernés par une certaine perte de salaire et le caractère temporaire de la perte de travail.