André Kostolany : C'est ainsi que le gouvernement contrôle l'économie comme un conducteur contrôle sa voiture.

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Selon un rapport de www.capital.de, l'investisseur légendaire André Kostolany a écrit des chroniques pour Capital pendant plus de 30 ans. Certains de ses textes sont documentés dans une série. En mai 1972, Kostolany expliquait ce que la politique monétaire et la conduite automobile avaient en commun. Le gouvernement contrôle le développement économique d’un pays comme un conducteur contrôle sa voiture. Il exerce un contrôle à l’aide des deux pédales, l’accélérateur et le frein, en injectant ou en siphonnant de l’argent dans l’économie. Comme tout bon conducteur le sait, la direction doit suffire à garder la voiture sous contrôle. Cela serait conforme à la politique budgétaire du gouvernement s'il utilisait des réductions d'impôts...

Gemäß einem Bericht von www.capital.de, schrieb der legendäre Investor André Kostolany mehr als 30 Jahre lang Kolumnen für Capital. In einer Serie werden einige seiner Texte dokumentiert. Im Mai 1972 erklärte Kostolany, was Geldpolitik und Autofahren gemeinsam haben. Die Regierung lenkt die Wirtschaftsentwicklung eines Landes wie ein Autofahrer seinen Wagen. Sie übt die Kontrolle mit Hilfe der zwei Pedale Gas und Bremse aus, indem sie Geld in die Wirtschaft pumpt oder abschöpft. Wie jeder gute Autofahrer weiß, sollte die Lenkung genügen, um den Wagen unter Kontrolle zu halten. Dies entspräche der Fiskalpolitik der Regierung, wenn sie mit Hilfe von Steuersenkungen …
Selon un rapport de www.capital.de, l'investisseur légendaire André Kostolany a écrit des chroniques pour Capital pendant plus de 30 ans. Certains de ses textes sont documentés dans une série. En mai 1972, Kostolany expliquait ce que la politique monétaire et la conduite automobile avaient en commun. Le gouvernement contrôle le développement économique d’un pays comme un conducteur contrôle sa voiture. Il exerce un contrôle à l’aide des deux pédales, l’accélérateur et le frein, en injectant ou en siphonnant de l’argent dans l’économie. Comme tout bon conducteur le sait, la direction doit suffire à garder la voiture sous contrôle. Cela serait conforme à la politique budgétaire du gouvernement s'il utilisait des réductions d'impôts...

André Kostolany : C'est ainsi que le gouvernement contrôle l'économie comme un conducteur contrôle sa voiture.

Selon un rapport de www.capital.de, l'investisseur légendaire André Kostolany a écrit des chroniques pour Capital pendant plus de 30 ans. Certains de ses textes sont documentés dans une série. En mai 1972, Kostolany expliquait ce que la politique monétaire et la conduite automobile avaient en commun.

Le gouvernement contrôle le développement économique d’un pays comme un conducteur contrôle sa voiture. Il exerce un contrôle à l’aide des deux pédales, l’accélérateur et le frein, en injectant ou en siphonnant de l’argent dans l’économie. Comme tout bon conducteur le sait, la direction doit suffire à garder la voiture sous contrôle. Cela correspondrait à la politique budgétaire du gouvernement s'il voulait maintenir la roue économique à la bonne vitesse à l'aide de réductions ou d'augmentations d'impôts. Mais le gouvernement n’est pas souverain en matière de politique fiscale. Dans les pays démocratiques, cela dépend des parlements et des électeurs et est donc exposé à une bonne dose de démagogie.

Ces métaphores de Kostolany illustrent les mécanismes économiques de manière simple et claire. En fait, la politique monétaire et budgétaire est un instrument central qui influence considérablement le développement économique. Une utilisation incorrecte ou peu judicieuse peut entraîner de l’inflation, une récession ou d’autres problèmes économiques. Il est donc essentiel que le gouvernement et les autres acteurs institutionnels examinent attentivement l’impact de leurs décisions de politique économique.

La métaphore de la conduite automobile illustre également l’importance pour le gouvernement de prendre des décisions réfléchies et confiantes, notamment en matière de politique fiscale, afin de maintenir la roue économique en mouvement à la bonne vitesse. Toutefois, dans les systèmes démocratiques, cette tâche s’avère souvent complexe et difficile, car les décisions politiques sont façonnées par des intérêts et des opinions différents.

Il reste à espérer que les décideurs soient conscients de cette importance et mettent en œuvre leurs mesures de politique économique avec prudence et prévoyance.

Les analyses de Kostolany continuent de nous offrir des informations précieuses sur la politique économique et de stimuler la réflexion sur l'équilibre et la responsabilité dans les processus de prise de décision politique.

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