Peur et alarmisme : comment une politique économique sans pauvreté crée de l’espoir

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Dans leur livre "Fear and Fearmongering. Pour une politique économique qui donne de l'espoir", Marterbauer et Schürz critiquent le fait que la politique économique néolibérale exploite spécifiquement les peurs des gens pour créer certaines incitations comportementales. Un exemple en est l'allocation de chômage, qui n'est versée que pendant une période limitée et est ensuite réduite à un minimum de prestations sociales. Cela oblige les gens à accepter des « emplois pourris » et crée de la pauvreté pour ceux qui ne parviennent pas à trouver un nouvel emploi. Au lieu de cela, les auteurs préconisent une politique économique qui évite la peur comme incitation et permet aux gens de vivre une vie sans peur grâce à des prestations sociales plus élevées, de meilleurs soins de santé et de meilleures opportunités d'éducation. …

Marterbauer und Schürz kritisieren in ihrem Buch „Angst und Angstmacherei. Für eine Wirtschaftspolitik, die Hoffnung macht“, dass die neoliberale Wirtschaftspolitik die Ängste der Menschen gezielt ausnutzt, um bestimmte Verhaltensanreize zu setzen. Ein Beispiel dafür ist das Arbeitslosengeld, das nur für einen begrenzten Zeitraum gezahlt wird und danach auf ein Minimum an Sozialleistungen reduziert wird. Dies zwingt Menschen dazu, „miese Jobs“ anzunehmen und führt zu Armut bei denen, die keine neue Arbeit finden. Die Autoren plädieren stattdessen für eine Wirtschaftspolitik, die auf Angst als Anreiz verzichtet und den Menschen durch höhere Sozialleistungen, bessere Gesundheitsversorgung und bessere Bildungschancen ein angstfreies Leben ermöglicht. …
Dans leur livre "Fear and Fearmongering. Pour une politique économique qui donne de l'espoir", Marterbauer et Schürz critiquent le fait que la politique économique néolibérale exploite spécifiquement les peurs des gens pour créer certaines incitations comportementales. Un exemple en est l'allocation de chômage, qui n'est versée que pendant une période limitée et est ensuite réduite à un minimum de prestations sociales. Cela oblige les gens à accepter des « emplois pourris » et crée de la pauvreté pour ceux qui ne parviennent pas à trouver un nouvel emploi. Au lieu de cela, les auteurs préconisent une politique économique qui évite la peur comme incitation et permet aux gens de vivre une vie sans peur grâce à des prestations sociales plus élevées, de meilleurs soins de santé et de meilleures opportunités d'éducation. …

Peur et alarmisme : comment une politique économique sans pauvreté crée de l’espoir

Dans leur livre "Fear and Fearmongering. Pour une politique économique qui donne de l'espoir", Marterbauer et Schürz critiquent le fait que la politique économique néolibérale exploite spécifiquement les peurs des gens pour créer certaines incitations comportementales. Un exemple en est l'allocation de chômage, qui n'est versée que pendant une période limitée et est ensuite réduite à un minimum de prestations sociales. Cela oblige les gens à accepter des « emplois pourris » et crée de la pauvreté pour ceux qui ne parviennent pas à trouver un nouvel emploi.

Au lieu de cela, les auteurs préconisent une politique économique qui évite la peur comme incitation et permet aux gens de vivre une vie sans peur grâce à des prestations sociales plus élevées, de meilleurs soins de santé et de meilleures opportunités d'éducation. Ils réclament également une restriction de la richesse des riches au moyen d’un impôt sur la fortune, d’un impôt sur les successions et d’un plafond de richesse.

Les auteurs estiment qu’une « stratégie zéro pauvreté » et de meilleures conditions pour les bas revenus en Autriche coûteraient environ deux milliards d’euros par an, ce qui correspond à seulement 1 % de la production économique annuelle. Cela pourrait être financé par un impôt sur la fortune sur les actifs des ménages millionnaires.

Les demandes des auteurs sont politiquement controversées, mais le livre offre un changement de perspective intéressant. Cela montre que les choses sont souvent différentes du point de vue des salariés et du point de vue des entreprises.

Source : D'après un rapport de www.deutschlandfunk.de

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