Un expert financier critique l'approche économique de Grimm : la taxe sur le bien-être animal pèse sur les agriculteurs et n'atteint pas l'objectif

Un expert financier critique l'approche économique de Grimm : la taxe sur le bien-être animal pèse sur les agriculteurs et n'atteint pas l'objectif

Selon un rapport de www.merkur.de,

Dans le sillage des protestations des agriculteurs, l'économiste Viktoria Grimm condamne la coalition des feux tricolores. La politique économique du gouvernement « n’atteint pas son objectif ». Les critiques de Grimm s'adressent principalement à la décision du ministre fédéral de l'Agriculture, Cem Özdemir, d'introduire une taxe sur le bien-être animal sur la viande. Elle critique les mesures de politique économique du gouvernement et s'interroge sur l'efficacité de la taxe prévue sur le bien-être animal.

L’introduction d’une taxe sur le bien-être animal sur la viande pourrait avoir un impact significatif sur le marché. Cela pourrait entraîner une augmentation des prix de détail de la viande et des produits d’origine animale, ce qui pourrait affecter la demande et le comportement des consommateurs. Les agriculteurs et les producteurs de viande devront peut-être ajuster leur production et leurs chaînes d’approvisionnement pour faire face à la hausse des coûts. En outre, l’introduction d’une taxe sur le bien-être animal pourrait affecter la compétitivité des agriculteurs allemands sur le marché international.

Les critiques de l'économiste Viktoria Grimm mettent également en lumière les divergences au sein du gouvernement et le manque de clarté concernant l'agenda de la politique économique. Cela pourrait entraîner une incertitude accrue au sein de l’économie et des marchés financiers. Les investisseurs et les entreprises peuvent hésiter à élaborer des plans à long terme tant que la politique gouvernementale n’est pas plus clairement définie. Cela pourrait potentiellement conduire à une diminution des investissements et de la croissance économique.