Jacinda Ardern : adieux en larmes et équilibre économique – analyse d'un expert financier

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Selon un rapport de www.faz.net, le bilan économique de l'ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern est pire que prévu. Après cinq ans et demi de mandat, elle laisse derrière elle un pays qui souffre de prix élevés et est au bord de la récession. Son confident, le ministre des Finances Grant Robertson, a déjà annoncé qu'il ne serait pas disponible pour lui succéder. La démission d'Ardern s'accompagne de commentaires haineux qui détournent l'attention de son bilan en matière de politique économique. L'inflation a augmenté en Nouvelle-Zélande depuis son premier mandat, les prix des produits alimentaires en particulier ayant augmenté de plus de 8 pour cent. La politique travailliste du logement a échoué, au lieu des cent mille prévus...

Gemäß einem Bericht von www.faz.net ist die wirtschaftliche Bilanz von Jacinda Ardern, der ehemaligen Ministerpräsidentin von Neuseeland, schlechter als erwartet. Nach fünfeinhalb Jahren im Amt hinterlässt sie ein Land, das unter hohen Preisen leidet und kurz vor einer Rezession steht. Ihr Vertrauter, Finanzminister Grant Robertson, hat bereits angekündigt, nicht als ihr Nachfolger zur Verfügung zu stehen. Arderns Rücktritt wird von teils hasserfüllten Kommentaren begleitet, die von ihrer wirtschaftspolitischen Bilanz ablenken. Seit ihrer ersten Amtszeit hat die Inflation in Neuseeland zugenommen, insbesondere die Lebensmittelpreise sind um mehr als 8 Prozent gestiegen. Die Wohnungsbaupolitik der Labour-Partei ist gescheitert, anstatt der geplanten hunderttausend …
Selon un rapport de www.faz.net, le bilan économique de l'ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern est pire que prévu. Après cinq ans et demi de mandat, elle laisse derrière elle un pays qui souffre de prix élevés et est au bord de la récession. Son confident, le ministre des Finances Grant Robertson, a déjà annoncé qu'il ne serait pas disponible pour lui succéder. La démission d'Ardern s'accompagne de commentaires haineux qui détournent l'attention de son bilan en matière de politique économique. L'inflation a augmenté en Nouvelle-Zélande depuis son premier mandat, les prix des produits alimentaires en particulier ayant augmenté de plus de 8 pour cent. La politique travailliste du logement a échoué, au lieu des cent mille prévus...

Jacinda Ardern : adieux en larmes et équilibre économique – analyse d'un expert financier

Selon un rapport de www.faz.net, le bilan économique de l'ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern est pire que prévu. Après cinq ans et demi de mandat, elle laisse derrière elle un pays qui souffre de prix élevés et est au bord de la récession. Son confident, le ministre des Finances Grant Robertson, a déjà annoncé qu'il ne serait pas disponible pour lui succéder. La démission d'Ardern s'accompagne de commentaires haineux qui détournent l'attention de son bilan en matière de politique économique.

L'inflation a augmenté en Nouvelle-Zélande depuis son premier mandat, les prix des produits alimentaires en particulier ayant augmenté de plus de 8 pour cent. La politique du logement du Parti travailliste a échoué ; au lieu des cent mille appartements prévus pour les personnes socialement défavorisées, seuls 1 366 ont été construits. La récente baisse d'Ardern dans les sondages montre que son parti a perdu des soutiens et pourrait ne pas obtenir suffisamment de voix pour former une coalition lors des prochaines élections.

L'impact des politiques d'Ardern se fait sentir non seulement sur l'inflation et le logement, mais également sur d'autres secteurs de l'économie tels que le tourisme et l'agriculture. Le confinement strict mis en place par la Nouvelle-Zélande pendant la pandémie du coronavirus a gravement porté préjudice à de nombreuses entreprises. Alors que le taux de mortalité reste faible, les hôtels, les entreprises touristiques et les agriculteurs souffrent du manque de clients et de travailleurs.

La politique climatique d'Ardern a également été controversée. Bien qu’elle se soit fortement engagée en faveur de la protection du climat, ses émissions ont néanmoins augmenté de 2 pour cent. Leur limitation des émissions de gaz à effet de serre dans l'agriculture a été particulièrement controversée car cela entraîne des coûts élevés pour les agriculteurs.

Compte tenu de ces faits, il est probable que le bilan économique d'Ardern aura un impact négatif sur le marché et le secteur financier en Nouvelle-Zélande. La hausse des prix et l'incertitude économique pourraient dissuader les investisseurs et nuire à la croissance du pays. Il reste à voir comment évoluera le paysage politique néo-zélandais et si le nouveau gouvernement sera en mesure de relever les défis économiques.

Source : D'après un rapport de www.faz.net

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