Changement de politique économique : Spahn demande un plafonnement des cotisations sociales
La CDU travaille toujours assidûment sur son nouveau programme de base. Le vice-président du groupe parlementaire de l'Union, Jens Spahn, donne désormais un nouvel aperçu de la direction à prendre. Il réclame un plafonnement des cotisations de sécurité sociale et une réduction « sérieuse » de la bureaucratie. Il a également quelque chose à dire sur la politique migratoire. Le vice-président du groupe parlementaire de l'Union, Jens Spahn, est favorable à un plafond des cotisations de sécurité sociale. Il exige que les cotisations de sécurité sociale soient plafonnées à 40 pour cent. Tout comme le frein à l’endettement, ce dispositif devrait être ancré dans la Loi fondamentale afin de garantir une garantie nette permanente pour les salaires. Spahn affirme que les cotisations de sécurité sociale actuelles entravent la croissance et mettent à rude épreuve tant les salariés que les employeurs. Spahn appelle également à un soulagement de...

Changement de politique économique : Spahn demande un plafonnement des cotisations sociales
La CDU travaille toujours assidûment sur son nouveau programme de base. Le vice-président du groupe parlementaire de l'Union, Jens Spahn, donne désormais un nouvel aperçu de la direction à prendre. Il réclame un plafonnement des cotisations de sécurité sociale et une réduction « sérieuse » de la bureaucratie. Il a également quelque chose à dire sur la politique migratoire.
Le vice-président du groupe parlementaire de l'Union, Jens Spahn, est favorable à un plafond des cotisations de sécurité sociale. Il exige que les cotisations de sécurité sociale soient plafonnées à 40 pour cent. Tout comme le frein à l’endettement, ce dispositif devrait être ancré dans la Loi fondamentale afin de garantir une garantie nette permanente pour les salaires. Spahn affirme que les cotisations de sécurité sociale actuelles entravent la croissance et mettent à rude épreuve tant les salariés que les employeurs.
Spahn réclame également un allégement de l’impôt sur le revenu. Il estime que la performance devrait à nouveau être plus rentable et que les heures supplémentaires devraient être exonérées d'impôt. De plus, le taux d'imposition le plus élevé ne devrait s'appliquer qu'à partir d'un salaire annuel de 80 000 euros. Il convient de noter que la réglementation de Spahn ne s'applique qu'aux salariés les plus riches, qui sont environ quatre millions en Allemagne.
Dans le même temps, Spahn appelle à un changement de politique économique en Allemagne. Il souligne que la croissance doit être une priorité, que la taxe sur l'électricité doit être réduite et que les investissements doivent être amortis plus rapidement. Il préconise également une réduction significative de la bureaucratie.
En ce qui concerne la politique migratoire, Spahn préconise un changement de cap. Il appelle à mettre un terme aux migrations d'asile incontrôlées et souligne l'importance d'un signal clair aux frontières extérieures de l'UE. Il estime qu'avec une protection efficace des frontières, l'Europe pourrait accueillir et distribuer environ 300 000 à 500 000 réfugiés par an.
Les exigences de Jens Spahn pourraient avoir un impact sur le marché et le secteur financier. Un plafonnement des cotisations de sécurité sociale pourrait alléger la charge pesant sur les salariés et les employeurs et favoriser la croissance. Une réduction de l’impôt sur le revenu pour les hauts revenus pourrait leur permettre de disposer de plus d’argent et éventuellement de l’investir ou de le consommer. La réduction de la bureaucratie pourrait accroître l’efficacité et promouvoir la création et la croissance des entreprises. Un changement de cap dans la politique migratoire pourrait conduire à une réduction des migrations et à une meilleure intégration des demandeurs d’asile vivant déjà en Allemagne. Reste toutefois à savoir si et dans quelle mesure ces revendications seront mises en œuvre.
Selon un rapport de www.n-tv.de
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